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Association AAPISE
le centre de répit
Face au manque de places d’accueil pour des enfants en situation de handicap et notamment les enfants souffrant de troubles du spectre autistique, pour répondre aux besoins accrus des familles et des proches aidants lors de cette crise sanitaire, l’Association d’Appui à la Participation à l’ Inclusion Sociale et Environnementale (AAPISE) a déployé au sein du parc de Bruyère le Châtel, un premier centre de répit dont ont bénéficié une trentaine d’enfants et adolescents en situation de handicap en juillet 2020 à l’issue de la première période de confinement.
Les parents et proches aidants avaient exprimés les difficultés qu’ils ont rencontrées lors du confinement : la privation de sorties a retentit fortement dans la sphère familiale. Le changement de leurs habitudes perturbent les enfants souffrant de TSA hypersensibles à leur environnement. Pour ces parents, l’isolement en vase clos a bouleversé un équilibre familial difficilement établit.
L’accueil en séjour de répit proposé par l’AAPISE a été plébiscité par les familles, et fort de cette expérience réussie , dès l’annonce du reconfinent l’association AAPISE a redéployé les séjours de répit : le 2 novembre 2020, 6 enfants ont pu être accueillis au centre de Bruyère le Chatel, accompagnés par une équipe de 7 éducateurs et éducatrices, encadrés par un chef de service, pour un séjour de 15 jours, 4 sessions d’accueil ont ainsi été ouvertes jusque fin décembre 2020, pour une trentaine de jeunes.
Les séjours de répit de l’AAPISE offrent bien plus qu’une bouffée d’air : « un pas vers l’inclusion sociale » pour des jeunes en situation de handicap « sans solutions » qui vivent au quotidien dans leurs familles. - en témoignent les parents, les professionnels, les jeunes accueillis et le président de l’AAPISE.
Partageons les moments de vie au centre de répit, ces enfants fragilisés par les troubles autistiques accompagnés de leurs éducateurs nous font partager leurs désirs et leurs appréhensions alors qu’ils découvrent ce nouvel environnement et font l’expérience de vivre parmi les autres, en dehors de leurs familles.
Ecoutons les témoignages de familles qui partagent leurs vécus dans la sphère familiale avec leurs enfants et adolescents autistes et qui se battent pour obtenir une place en Institut Médico- Educatif et ainsi leur ouvrir des perspectives d’avenir.
IRFASE
Journée d’étude sur les violences faites aux femmes 2020
VIOLENCES FAITES AUX FEMMES :
Comment la justice protège-t-elle les femmes victimes de violences ?
Jeudi 26 novembre 2020 | IRFASE via TEAMS
Les rapports se succèdent et font le même constat : les femmes victimes de violences hésitent à avoir recours à la justice, et quand elles le font, leur démarche reste souvent sans réponse.
Lors de cette journée d’étude, nous nous proposons d’interroger ce que représente le recours à la justice pour les femmes victimes de violences, ainsi que le cheminement qui peut les conduire à s’en saisir ou à ne pas le faire. La loi et l’institution judiciaire se transforment avec le temps, et avec la connaissance du phénomène de violence à l’égard des femmes. La protection des victimes est formellement renforcée. Néanoins, la démarche de saisir la justice reste à chaque fois personnelle, individuelle, laborieuse.
Les travailleuses sociales et les travailleurs sociaux sont parmi les professionnels qui accompagnent les femmes victimes dans leurs démarches. Les interventions de cette journée visent à apporter des éléments de compréhension des conditions de possibi-
lité pour que les femmes victimes saisissent efficacement la justice, et pour que la justice les protège.
Cette manifestation est dédiée à la mémoire de Gisèle Halimi
IRFASE
PARCOURS d'EXIL
IRFASE
Journée d’étude sur les violences faites aux femmes 2019
Journée d’étude sur les violences faites aux femmes Le mardi 26 Novembre 2019Salle Claude NougaroLes femmes peuvent être victimes de violences chez elles, sur le lieu de travail, dans la rue ou ailleurs dans l’espace public. Ni l’âge, ni l’état civil, ni le statut professionnel, ni le niveau d’études ne protègent les femmes victimes. En revanche, ce qui peut contribuer à les protéger, ce qui vise à éradiquer ces violences, c’est l’éducation à l’égalité entre les femmes et les hommes, et plus particulièrement, la formation.En première ligne dans la rencontre avec des femmes victimes de violences, les travailleurs sociaux sont rarement suffisamment formés pour être en mesure d’identifier le phénomène, savoir orienter ou accompagner ces femmes (souvent accompagnées par leurs enfants).
Au regard de la complexité de ces violences, la formation initiale des travailleurs sociaux devrait comporter des séquences de sensibilisation et fournir les outils conceptuels de base.
Cette journée d’étude propose une approche des principaux axes à développer dans une telle démarche.* Comprendre que les violences s’inscrivent dans un continuum est essentiel pour les appréhender et saisir l’importance d’une politique publique pour les combattre.* Pour saisir la pluralité des formes de violence, il est important de connaître le phénomène d’emprise, ainsi que les effets traumatiques sur les victimes.* L’accueil, l’écoute et le recueil de la parole des victimes sont essentiels dans le processus de sortie –etles forces de l’ordre sont l’un des principaux partenaires des travailleurs sociaux.
Enfin, si l’accompagnement des victimes s’avère souvent nécessaire, l’accompagnement spécialisé est toujours souhaitable, et il gagnerait à être mieux connu et développé.
INTERMEDES ROBISON association créée en 2005 par des acteurs sociaux volontaires, afin de promouvoir des expériences de vie sociales, éducatives et communautaires, réellement accessibles.
Depuis 2005, l'association a développé et étendu ses activités à de nouveaux territoires de vie: jardins communautaires, espaces publics des quartiers, bidonvilles, et hôtels sociaux. Son action est reproductible et a une valeur sociale globale, mais elle s’investit dans des territoires précis et se veut durable. Ainsi ils réalisent 11 ateliers et actions hebdomadaires à Longjumeau (quartier Sud) , Massy (quartier Opéra), et dans les bidonvilles et hôtels sociaux du Nord Essonne.
L’association Intermèdes Robinson a été créée en 2005 par des acteurs sociaux volontaires, afin de promouvoir des expériences de vie sociales, éducatives et communautaires, réellement accessibles.
Depuis 2005, l'association a développé et étendu ses activités à de nouveaux territoires de vie: jardins communautaires, espaces publics des quartiers, bidonvilles, et hôtels sociaux. Son action est reproductible et a une valeur sociale globale, mais elle s’investit dans des territoires précis et se veut durable. Ainsi ils réalisent 11 ateliers et actions hebdomadaires à Longjumeau (quartier Sud) , Massy (quartier Opéra), et dans les bidonvilles et hôtels sociaux du Nord Essonne.
COLLOQUE CHEMEA 2019
"Maître de mon parcours, aussi étroits soient les sentiers"
Reconnais mes capacités (capabilité) et je te dirai comment m’aider
La nébulosité sémantique du travail social, qui a longtemps été entretenue par son évolution processuelle et ses multiples inflexions législatives, trouve son épilogue par la publication récente du Décret n° 2017-877 du 6 mai 2017 relatif à la définition du travail social.
Cette définition est une première dans un secteur d’activité caractérisé par l’imprécision de ses contours tant ses différentes manifestations suggèrent une indéfinition structurelle de ses frontières ....... Plus d'infos
Colloque Relations Humaines & Technologies
Internet, les réseaux sociaux, la robotique, la domotique… Ces technologies ne sont plus nouvelles dans notre société, pour autant, dans le secteur social et médico-social, elles restent encore aujourd’hui peu intégrées aux pratiques d’accompagnement.
En effet, une majorité de professionnels émet une réserve à concevoir les outils du numérique comme support de leurs pratiques du fait des inégalités territoriales d’accès au numérique, des investissements financiers nécessaires et conséquents, du manque de formation des professionnels à ces outils et plus largement du questionnement des professionnels quant à leur usage au service de la relation humaine.
Or, ces technologies sont présentes partout, dans le quotidien de chacun. Priver les personnes accompagnées d’un accès et d’un usage à celles-ci ne reviendrait-il pas à accroitre les inégalités, à entraver les processus d’autonomisation, de socialisation et d’individualisation ?
Pourrait-on considérer que ces technologies peuvent soutenir la relation humaine dans le travail social et médico-social ?
Où en est-on des interactions homme/machine, peut-on parler de relation empathique ? De lien d’attachement ? La machine serait-elle aujourd’hui en capacité à détecter des émotions humaines ? Comment le robot fait-il avancer la connaissance de l’homme sur lui-même, sur l’humanité ?
Telles sont les questions que ce colloque propose d’explorer à travers les différents espaces de réflexions de partage et de création.
Collège des PYRAMIDES EVRY Films réalisés et montés à partir des médias du projet
Au cœur de la Cité des Pyramides, quartier prioritaire de la politique de la ville à Évry, chemine depuis 5 ans, une aventure qui « ré enchante le social » : Ces films proposent une rencontre avec Mr MALEWO professeur de technologie et des adolescents du collège des Pyramides porteurs d’un projet ambitieux, et qui leur tient à cœur : ils sont engagés, depuis 2012, dans leur projet « construisons notre quartier ».